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Témoignage de fonctionnement de couple avec une femme "Alpha" (partie 3 et fin )
Certains doivent l'attendre avec impatience, voici le 3eme et dernier volet du témoignage de M retranscrit par JM sur le fonctionnement de leur couple. On insistera jamais assez pour les remercier, car ils nous dévoilent beaucoup de choses assez intimes et j'espère qu'ils vont donneront des idées ou que tout cela saura vous inspirer.
Qu'est-ce qui vous attend dans cette dernière partie? En premier lieu, M nous explique comment elle utilise la cage de chasteté. Ensuite, vous découvrirez comment le pegging a trouvé sa place dans le fonctionnement de ce couple. Et enfin, vous aurez droit à une jolie conclusion. Bref, un joli programme que voilà, que je n'ai pas pu m'empêcher d'enrichir de ma petite blague ci-dessous... (j'espère que M l'approuvera )
Donc inutile de préciser qu'on attend de vous des remerciements pour tous les deux. Et si vous avez des questions, je suis certain que JM (ou peut-être M) viendront vous répondre. Comme souvent, les commentaires que vous trouverez après le billet sont également instructifs.
Alors, c'est avec un certain plaisir que je vais une fois de plus leur laisser ma place sur ce blog!
La Combo magique: Pegging et Cage de chasteté!
En effet, un autre jeu que nous pratiquons depuis peu est celui de la chasteté imposée de JM, via une cage de chasteté. Vous l’avez compris, nos pratiques sexuelles ont, en quelque sorte, épousé mon évolution professionnelle. De jeux avec plugs et godes quand j’étais Vice-President, le gode-ceinture a rapidement fait partie de mes attributs quand je fus nommée Director. Depuis ma nomination en tant que Managing Director, j’ai appris à compter sur ce petit accessoire bien astucieux qu'est la cage de chasteté. En effet, mes nombreux voyages à l’étranger, mes absences parfois prolongées, et la présence d’une jeune nounou à la maison fait que nous avons choisi, avec JM, dans l’optique de préserver notre couple, d’introduire une chasteté contrôlée de JM.
Ce jouet a été une formidable astuce pour permettre d’avoir des rapports plus qualitatifs, du fait que JM ne se masturbe plus « seul dans son coin ». De plus, les séances de gode-ceinture lui sont infiniment plus appréciables car sa prostate finit par gonfler, au bout de quelques jours en chasteté, ce qui la rend plus sensible.
La contrainte imposée par la cage a également considérablement renforcé mon pouvoir sur le plan sexuel. Après quelques jours en chasteté, JM devient plus doux, plus attentionné, et une fois la libération venue pour un rapport que je lui autorise, je lui permet de finir en abondance sur mes seins. Mais à chaque fois, je lui demande de nettoyer en léchant sa propre semence. Je lui glisse alors :
« N’oublie pas que les garçons bien élevés finissent toujours leur assiette ».Le gestion de la chasteté dans notre couple...
Pour revenir à nos jeux érotiques, un nouveau rituel que j’ai inventé est d’imposer une période d’un mois de chasteté à JM, généralement deux fois durant l’hiver, avant une libération devenue rituelle. Cette libération se fait le soir, après un grand repas de raclette avec nos amis ou notre famille élargie. Bien évidemment, seuls JM et moi sont au courant de cette pratique. J’aime savoir JM bouillonner parmi nos nombreux amis ou la famille élargie (cousins, frères et sœurs) en attendant d’être délivré, le soir venu, d’un mois de chasteté. Ceci le force à éviter de penser au sexe lors de cette dernière journée en chasteté passée en famille ou entre amis, de forcer sa nature et de se concentrer sur les discussions familiales ou entre amis, et finalement de ne pas penser au sexe durant cette soirée si spéciale, même avec la présence de femmes puissantes et bien foutues parmi mes amies. C’est un challenge pour lui, à ce stade de la chasteté, de ne pas tenter de regards déplacés ! Bref, ce jeu a pour but de bien circonscrire la sexualité dans notre intimité uniquement.J’aime organiser les choses en amont et une fois la date de ce repas fixée bien en avance avec les invités dans le calendrier, occasion qui a lieu, le plus souvent, deux ou trois fois durant la saison hivernale, je boucle un mois à l’avance la cage de chasteté de JM, qui devient alors de plus en plus excité à l’approche de cette grande « raclette party ». Pour moi, c’est lui donner l’occasion de concentrer sur les préparatifs d’un tel repas, que tout soit réussi, et que sa libération le soir, une fois les convives partis, soit sa récompense. Comme au travail, j’aime stimuler puis récompenser. Ceci permet à JM d’oublier un peu le sexe et de se rappeler de l’importance de tels événements conviviaux.
Le soir venu, sa libération est un grand moment entre nous ! Juste avant de le libérer et d’avoir un rapport, je lui rappelle toutefois qui est la maîtresse en sortant mon gode-ceinture. Je crois que sa prostate, après un mois de chasteté, est alors un peu plus grosse, et très sensible. C’est si bon pour lui que ça ne le dérange pas de repousser de quelques minutes sa libération. Ces raclettes familiales ou entre amis sont devenues de grand rituels de ces périodes de chasteté, et peut être finalement le reflet d’une compétition inconsciente avec mes amies, voire mes sœurs, sur le plan de la sexualité. Le soir venu, si elles s’imaginaient la véritable douche que me délivre JM !
La mise en scène de la frustration
Enfin, cette cage est un outil de frustration énorme pour JM, que je m’amuse à maîtriser. Nous vivons dans un pays nordique avec une « culture du sauna » très forte, et m’étant désormais intégrée aux us et coutumes locaux, il m’arrive, à la fin de la journée, de me « faire un sauna » entre collègues (subordonnés). Nous avons l’habitude, en fin de semaine, de réserver pour 6 ou 8 un sauna privé mixte, où nous discutons de tout et de rien entre collègues en fin de journée, le vendredi.Les femmes arrivent en premier, puis viennent les collègues masculins. Le sauna étant mixte, la serviette est de rigueur mais les locaux étant très à l’aise avec la nudité, il m’est arrivée, lorsque nous ne sommes, au début de la séance, qu’entre femmes, de « tomber la serviette ». Puis, lorsque les hommes nous rejoignent, certaines femmes remettent leurs serviettes. D’autres juste sur leur intimité, d’autres pas du tout. C’est une culture très particulière en Europe du Nord, par rapport au rapport au corps et à la nudité.
Au fur et à mesure des saunas, et pour montrer mon intégration, il m’est arrivée de moins en moins me servir de ma serviette. C’est quelque chose de terriblement frustrant pour JM, qui sait que certains collègues hommes m’ont vue intégralement nue en fin de journée (même si je croise les jambes), alors que je lui refuserai la vue de mes seins par exemple, lors d’une séance de pegging qui aura lieu le week-end. Cette frustration est jouissive pour nous deux et me rappelle un jeu où, chevauchant JM en position d’andromaque ou d’amazone, ou bien en le pénétrant debout avec mon gode-ceinture, lui allongé sur le rebord du lit, les jambes en l’air, je lui ordonne de me regarder droit dans les yeux et de ne pas jeter un seul regard sur ma poitrine qui s’active, au risque de prolonger la période de chasteté subséquente.
Des jeux très forts entre nous
La place du Pegging dans notre couplePour finir sur notre approche du pegging, qu'il y ait de la chasteté entre nous ou pas, nous essayons d’avoir des rapports avec mon gode ceinture au moins une fois par mois, pour qu’il garde à l’esprit « qui est le boss » dans notre couple. Lui rappeler ceci est d’ailleurs très érotique pour nous deux.D’autres fois je me demande si JM est vraiment consentant quand je le bourre franchement, à la limite de la douleur pour lui. De telles chevauchées vigoureuses sont un moyen pour moi d’atteindre beaucoup de plaisir, mon clitoris frottant sur le harnais. Je me dis que la récompense de JM est cette vue splendide que je lui offre, à travers un miroir en face, de moi qui m’active derrière lui, mes seins remuant allègrement au fil des ébats que je dirige. Quand JM me voit harnachée dans la chambre, placer le miroir en face du lit, c’est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle pour lui.
Notre dynamique actuelle fait que les séances de pegging sont proposées par moi. Parfois pour initier la séance, je lui lance un audacieux « allez JM, cul nu ce soir ! » après m’être assurée que les enfants dorment. Ici encore la cage a un avantage puisque JM est plus souvent excité par cette proposition qu’il ne l’était « en liberté ».Je reste pour autant toujours très féminine dans le pegging. Ce ne sont que des outils de pouvoir, mais actionnés par moi. Avancer vers lui un gode à la main, nue, souriante et confiante : en quoi serais-je devenue un homme, ainsi ? Aussi le harnais est-il avant tout pour moi un accessoire féminin, dont j’aime le côté érotique. JM apprécie également la vue de mon fessier dans un harnais, ou bien dans un string gode qui est encore plus féminin, une large lanière séparant mes fesses et frottant contre mon intimité. Ces accessoires ont été l’occasion d’une véritable « redécouverte » du potentiel érotique de mes fesses pour JM.
Je reste donc féminine. Mais lui, renonce-t-il à sa masculinité ? J’ai en tout cas réellement apprécié le voir troublé par certains aspects. La lingerie par exemple. Ou le fait de lui proposer un rendez-vous chez mon esthéticienne, après avoir questionné celle-ci sur la possibilité de prendre en charge mon mari. Proposer un SIF dénué de tout poil est plus esthétique pour moi lors des rapports intimes, et cela occasionne pour lui moins de frottements lors de la pénétration. La première fois que je l’ai vu ainsi rasé de près, JM a eu droit à de nombreux compliments sur ses fesses on ne peut plus lisses. Le retour de son passage chez l’esthéticienne avait été l’occasion de nombreux jeux entre nous une fois le soir venu. JM avait de son côté, m’a-t-il dit, quelque peu apprécié de se retrouver dans des positions impudiques face à ma jeune esthéticienne.Ce ne sont que des jeux de pouvoir au final, et les premiers jeux sont toujours très émouvants. Les premières fois doivent être rassurantes pour lui, mais c’est en même temps grisant de se laisser dominer, pour lui, et de contrôler cette domination, pour moi. Le voir se mettre de lui même à quatre pattes est toujours une vraie source de satisfaction pour moi, et le voir ainsi me tendre ses fesses pour la première fois m’a donné un petit frisson (oui, regarder les fesses des hommes sont mon petit péché mignon). Puis lui proposer d’écarter lui-même une fesse avec sa main, pour m’offrir une vue totalement impudique sur son anus, cela n’avait rien de commun non plus. Est-ce que je ne révèle pas ainsi ma nature profonde, celle d’une « femme prédatrice » ? J’aime lui empoigner très fermement son sexe ainsi derrière lui, tous les deux à quatre pattes… et le voir se tortiller de plaisir.Puis d’autres premières fois très émouvantes pour nous ont eu lieu, où nous apprivoisions nos « nouveaux » rôles : il n’était pas évident pour JM, au début, de sentir battre mes cuisses contre les siennes, lors d’un pegging vigoureux où il avait même fini par « capituler », en s’écroulant sur son ventre. Une autre fois, une chevauchée en « levrette bulldog », où j’étais très à l’aise dans mes mouvements, l’avait quelque peu intimidé.En guise de conclusion...
Je voudrais personnellement conclure notre témoignage en disant que le gode ceinture est un jouet que je me plais à utiliser régulièrement dans nos ébats. Utilisé au départ pour, inconsciemment, marquer ma domination sur le plan sexuel, j’y ai pris, au fur et à mesure, non plus un plaisir cérébral, mais physique. Il me permet également, à la fin d’une journée difficile, d’évacuer mon insatisfaction que j’ai cumulée envers certains collègues. Le fait de travailler dans un univers assez masculin voire machiste me permet de renverser la situation quand j’en ai envie, le soir venu, avec JM.Est-ce que j’imagine notre relation de couple sans cet accessoire ? Non. Est-ce que j’imagine ma vie sexuelle sans ? Au début, oui, mais plus maintenant. Je veux dire par là que le gode-ceinture n’est plus seulement un jouet de pouvoir dans notre couple, mais maintenant un jouet destiné à mon propre plaisir.
Qui est au courant de nos pratiques de pegging ? Pas notre entourage immédiat en tout cas. Mais plutôt une toute petite poignée de personnes, à la fois qui ne nous connaissent pas vraiment, et qui sont de confiance, au sens où elles ont eu connaissance de nos pratiques dans un cadre professionnel. Je pense personnellement que l’esthéticienne en question est au courant. Tout comme notre ancienne jeune nounou, une jeune fille au pair qui m’a confortée dans ma décision d’avoir mis JM en cage, et qui a dû tomber une fois ou deux sur un de mes gode-ceintures dans notre chambre.Une dernière personne à être au courant est une photographe que nous avons rencontré il y a quelques années pour une session « boudoir », et que nous avons rappelée il y a peu pour en organiser une autre, avec l’ajout d’un accessoire un peu particulier cette fois-ci. Vous l’avez deviné. En tout cas, cette session de photographie boudoir (sans rapport sexuel) a été un vrai petit bonheur pour nous trois. Je me suis laissée surprise à être en quelque sorte dominée par cette femme qui nous a dirigés dans nos poses érotiques et a joué avec les ombres et lumières, sur un gode-ceinture qu’on devinait attaché à mes hanches, sur nos regards, gourmand pour ma part et troublé, je dirais, pour JM.Peut-être quelques derniers mots sur nos toutes premières fois, pour compléter ce témoignage. Au début de l’introduction de ces jeux avec mon gode-ceinture, c’était une nouvelle grammaire qui se mettait en place. Plus que l’accueil d’un nouveau jouet dans nos ébats, c’était la prise en compte d’un nouveau sexe pour moi. JM se prêtait au jeu en me complimentant sur la taille de mon engin. Je surenchérissais en lui faisant la surprise de sexes plus gros. Le voir intimidé par la vue de mon gode de bonne dimension, quand je rentre dans la chambre, ou quand je retire mon peignoir, est très excitant pour moi. Je l’incite à prendre connaissance avec, à lui suggérer une fellation… des moments très intenses dans l’exercice du pouvoir (« Il ne te fais pas peur ? Oui il est dressé ! Fais pas ton timide ! »).Enfin, nos enfants ignorent tout de nos types de rapport. Ma fille aînée m’a demandé si elle pourrait avoir une relation « comme j’ai avec papa », si elle pourrait « porter la culotte » elle aussi plus tard avec son mari. J’ai eu peur qu’elle en sache trop, mais elle voulait en fait simplement savoir si elle pouvait s’épanouir professionnellement tout en laissant son mari à la maison s’occuper des enfants. L’évocation à JM de ces paroles enfantines nous ont incités, le soir venu, à entamer une agréable session de gode-ceinture, toute en douceur… « Non, elle ne le sait pas » ai-je soufflé à JM, pendant qu’il me prodiguait, à genoux, une fellation sur mon gode-ceinture, tout en m’enserrant mes fesses. « Non non » a-t-il pris le temps de répondre, confiant et souriant.
Le fait de garder cette pratique, qui nous procure énormément de plaisir, secrète aux yeux de notre entourage, nous stimule. Je pense que notre fille est au moins bien partie pour avoir un mari qui saura la respecter…
L’échange de rôles est alors total, surtout quand JM me glisse un doigt dans les fesses lors de cette fellation... quelque chose que j’adore. Différents harnais existent également et certains font que le gode est dressé, depuis la base du harnais, et ne pend pas entre les cuisses… c’est une vision très érotique pour JM quand il me voit ainsi approcher, triomphante, le sexe levé. Il joue le jeu et vante alors la vigueur de mon érection. Je joue également le jeu et lui suggère de se mettre à 4 pattes (« je veux tes fesses ! »). Il y a un échange de regards particulièrement puissant au moment où JM se met en position, comme un instant très beau de résignation de sa part, alors que je saisis le pouvoir à ce moment-là.
Une fois en lui, je lui demande de ne pas se masturber au départ, pour ne pas contraindre la pénétration. Je ne l’autorise à se masturber que quelques minutes après la première pénétration. Et je lui redemande d’arrêter de se masturber quand j’ai besoin de ses deux mains au sol pour maintenir ses appuis lorsque j’accélère la cadence (phase que j’appelle « ma montée en puissance »). Je lui demande également, au début de la pénétration, « s’il le sent bien, s’il l’apprécie », en étant un peu dans la domination, mais sans être vulgaire (« Tu le sens bien, dans tes fesses, là ? »). Qui ça, « il » ? Je ne mentionne en fait jamais directement le gode par son nom ou par des mots tels que « sexe », « pénis » ou encore moins « bite ».
Le dirty talking n’est pas notre truc. Je reste très indirecte quand je mentionne le gode et cela participe à semer le trouble sur ce qu’il est vraiment : une représentation symbolique de mon pouvoir, une extension de moi-même ou un simple jouet en plastique que je manipule à coup de reins ? Peut-être, une fois ou deux, ai-je prononcé quelques phrases vraiment hot, tout dépend du contexte : parfois ça fait du bien de « crever l’abcès » et de savoir mettre des mots, parfois très crus, sur ce que nous vivons, et de rappeler la dynamique de pouvoir qui se crée dans le couple.
Merci encore pour la publication de ce témoignage fleuve, qui a été en quelque sorte libérateur pour notre couple, et un moyen de continuer d’alimenter la flamme malgré une vie professionnelle très très chargée de mon côté.
M et JM« Témoignage de fonctionnement de couple avec une femme "Alpha" (partie 2 )Le Monde des Dominatrices (5-1) : Trouver son bon personnage de Dominatrice : La femme amazone »
Tags : témoignage, cage de chasteté, pegging, blague du jour
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Commentaires
2antoineVendredi 1er Mars à 07:59merci encore pour votre témoignage. vous m'avez parfaitement fait voir ce que je peux être le plaisir de se laisser aller entre les mains d'une femme puissante. L'érotisme qui en découle est puissant.
3CorolanusVendredi 1er Mars à 18:59Envie,palpitations et une érection tout du long, wow !4CarailluxbrgLundi 4 Mars à 23:10Merci pour ce magnifique témoignage. Cela me semble à la fois un rêve et un cauchemar. Un rêve car je n'ai jamais eu la chance d'éprouver ces sensations de ne sentir autant dominé. Un cauchemar car j'aurai peur de ne plus pouvoir me libérer de cette domination et du rester esclave à jamais. Mais cela n'est qu'une sensation personnelle. Comme vous je dites très bien votre relation se barre beaucoup sur la confiance,l'amour et la communication. Félicitation à vous pour ce parcours. Et encore merci5JMMercredi 6 Mars à 20:21Bonsoir et encore merci pour votre travail de mise en forme. Le rendu est magnifique. M parlait de « girl power », je voudrais développer que nous sommes dans une sorte de relation Ds, mais sans trop se prendre la tête : je pense à une soirée de franche rigolade où, en petite lingerie, M me donnait des fessées avec son gode souple, ou quand elle m’a demandé de porter, le soir dans la chambre, un string kangourou. C’est un peu désacraliser la masculinité. Si les collègues et l’entourage de M se doutent bien que c’est ma femme qui « tient la baraque », ils ignorent toutefois qu’elle porte parfois un phallus avec bourses le soir avec moi, mais ce n’est pas pour autant qu’elle se transforme ainsi en homme. Nous savons que ça reste un outil de pouvoir, aussi destiné à désacraliser la masculinité.6MMercredi 6 Mars à 20:33Bonsoir et merci infiniment pour la publication de notre témoignage. Nous sommes très heureux de le faire partager à vos lecteurs, qui ignorent que de très nombreux allers-retours par mails furent nécessaires entre JM et Songe, ainsi qu’entre JM et moi-même, pour aboutir à ces 3 derniers billets. Merci à vous pour votre travail de mise en forme. Le résultat est très « sexe » mais correspond assez fidèlement à ma restitution. Une partie a été masquée, semble-t-il, sur l’évolution de notre relation, quand je commençais à gagner plus que JM, mais c’est vrai que c’est moins en rapport avec votre blog, très orienté « pegging ». À ce sujet, je ferai un dernier parallèle avec mon travail. Mon travail, comme le pegging, c’est un peu la « lutte pour le pouvoir », un pouvoir quasi phallique. Et aussi le plaisir d’organiser les choses, et de voir le résultat de son travail. Dans une société, à un certain niveau, il y a ce que l’on appelle des « luttes internes », où des idées et des managers s’affrontent. J’ai tenu tête à certains hommes et j’ai fini par gagner en montant dans la hiérarchie. J’ai su imposer mes idées et elles ont fini par être appliquées. Le parallèle avec le pegging est vraiment saisissant : c’est un peu un exercice de pouvoir, de conviction pour gagner la confiance de JM. Un exercice d’autorité pas évident pour moi au début, quand il s’agissait d’annoncer à JM qu’une séance de gode ceinture me ferait le plus grand bien, et lui aussi. Et puis le côté « girl power ! Revanche des femmes qui ont pris le pouvoir » est aussi important dans notre relation.7PersonneDimanche 17 Mars à 19:10Merci pour ce témoignage! Nous avons tout lu avec Madame, nous nous y retrouvons sur certains points et d'autres moins, mais c'est du coup très constructif de pouvoir échanger sur tel ou tel chose en s'appuyant sur votre approche.L'idée de témoigner à notre tour fait son chemin chez Madame-
JMDimanche 17 Mars à 22:09Bonsoir, sur quels points en particulier vous retrouvez-vous ? Intéressant…
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JMDimanche 17 Mars à 22:20En tout cas ça serait un grand plaisir de lire d’autres témoignages !
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Lundi 18 Mars à 19:17
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Bonjour à vous deux.
Votre couple me fait rêver .J'aimerai tant que le miens soit idem au votre . Mais hélas ,toutes les Femmes ne sont pas aussi ouvertes d'esprit ,que vous tres chère M . AAAAh JM vous êtes vraiment un homme heureux ,je vous envie beaucoup .
J'aimerai avoir le "mode d'emploi" pour que ma très chère Clo , comprenne que c'est Elle ,la Boss
Cordialement syvonbi