• Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4 et 5 (fin)

    Partie 4- Une MISSION EN PÉRIL pour une ultime faiblesse 

     Cette nouvelle est un peu particulière parce qu'elle a été écrite aussi pour vous aider à dialoguer en couple sur le pegging. Si cette approche vous touche, nous vous rappelons que vous pouvez vous procurer le premier volet du roman érotique de Songe, intitulé "Le jeu de la séductrice". Pour lire les chapitres précédent, merci d'utiliser les tags que vous trouverez en bas de l'article (à condition de l'ouvrir! ^^ )

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    Pendant un court moment, le vent fait bouger la cime des arbres qui nous entourent. Des feuilles se détachent et flottent dans les airs, tandis que le bois craque au rythme de vagues invisibles. Tout ceci me rend encore plus électrique. Un léger et délicieux frisson me parcourt. 

    Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4-

    Même si je suis sensée être un homme, je me sens surtout une femme nouvelle qui regarde l’homme en face d’elle comme une proie.

     

    Je me saisis de sa bite pour le guider vers l’arbre couché que j’avais repéré pour nos étranges ébats. Elle s’est un peu ramollie, comme quoi, me sucer ne l’a pas si excité que ça… à moins qu’il ait été trop concentré à réaliser sa gorge profonde, mais plus je la serre et plus sa chair regrossit déjà dans ma main. J’aimerai le branler pour le stimuler encore plus, mais ce ne serait pas très viril de ma part. Et je risque de lui donner des sensations bien trop masculines… Déjà qu’une femme bande si dur me parait très étrange, si en plus elle éjaculait !

    Autour de nous, nous cherchons le meilleur endroit pour notre séance de pegging. Il cale ses jambes contre une grosse racine et me tend sa croupe, les coudes accolés sur le tronc couché que j’avais repéré. A mon tour, je me colle à lui, en glissant ma bite mais entre ses jambes. Je devine combien ses fesses restent chaudes. Je les lui plote sensuellement, il ne peut résister à se déhancher tout doucement, sensuellement, au rythme de mes caresses. Toujours sous le tissu tendu du slip ouvert sur ses fesses, je me faufile sur ses hanches, puis fouille un peu plus bas de manière à malaxer ses bourses. Sa verge est bien verticalement maintenue par l’élastique et je devine qu’elle dépasse largement. Mes caresses le troublent de plus en plus, je l’entends à sa respiration. Alors je fais mine de presser ses fesses avec mon ventre, ma bite toujours logée entre ses jambes, ma main sur sa verge à lui fièrement dressée. Je simule la sodomie en bourrant son derrière de plus en plus fort. J’aime le faire languir ainsi. Il geint déjà de désir, tandis que je sens à nouveau monter en moi une profonde excitation.

     

    Alors, j’écourte mon petit préliminaire et, toujours collée à lui, place une main le long de sa raie et presse à l’aveugle avec la pulpe de mes doigts pour trouver son petit orifice. Un premier doigt s’y faufile. Puis un second sans trop de problème. Je le travaille un peu pour que je puisse ensuite utiliser le plug pour ménager ma tendinite pour ce qui n’est qu’une préparation… Je cherche alors du lubrifiant dont j’enduis le plug. Doucement, je le presse contre son anus entrouvert et il s’enfonce petit à petit jusqu’à d’un coup l’enfourner avec avidité dès que sa base se rétrécit. Alors je joue à l’enfoncer et à le retirer d’abord très doucement, puis de plus en plus vite au fur et à mesure de la dilatation qui s’opère. La sodomie commence à peine que mon homme, ou plutôt ma femme, a l’air d’apprécier.

    De l’autre main, je masse maintenant ses rondeurs bien fermes et musclées. Un cul d’homme rien qu’à moi, que je peux contempler tout à loisir et abuser comme bon me semble. Je malaxe ses fesses tendues vers moi comme une magnifique et troublante offrande, oui, je les fais miennes. Et… tout ça m’excite malgré moi. J’ai cette bite qui pendouille dans le vide depuis trop longtemps. Elle réclame, je le sens, son cul à défoncer. Et il est là… Devant moi… Alors, pas la peine de lui retirer son slip…

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    Ce serait si bête qu’il prenne froid à son petit cul que je m’apprête à défoncer. Déjà j’approche l’extrémité du gode de son orifice. Sa croupe se tend. Et il me guide de sa main. Je pousse le gode avec mon bassin. Toute résistance disparait. Inexorablement, il rentre merveilleusement en lui. Son corps m’appartient. Déjà j’imprime mes premiers mouvements en lui.

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    -      Ouch… Tu y as été un peu vite…

    -      Et alors, c’est rentré tout seul, non ?

    -      Effectivement… alors… Ouch…

    -      De quoi tu te plains (pour la peine j’avais pris mon élan pour qu’il sente ma bite bien profondément lui rentrer dans le cul, et je je crois qu’il a apprécié).

    -      Encore !

    -      Vraiment… Tu veux vraiment, ma jolie, provoquer ton homme ? Alors tiens-toi bien à ton arbre !

    Il me tend plus fort son cul que je claque prestement des deux mains. Et là, j’ignore pourquoi, mais je me sens masculine comme je n’ai jamais été. Peut-être est-ce parce que je suis en jean et que lui se tient les fesses à l’air devant moi ? Ou parce que je sens cette fois que je possède le Phallus et que lui se donne à moi comme une femme ? Ou encore parce que je bourre son derrière avec entrain et force et que lui gémit comme j’aurais pu le faire ?

     

    -      Aaaaah….. Oooooh…..

    Jolies sons que je lui arrache là de plaisirs. J’ignore pourquoi je me sens si homme cette fois-ci, mais toujours est-il que j’ai les mains cramponnées à ses hanches et que je m’adonne au pegging sur mon homme comme un vrai homme. Oui, je suis un mec. Et je l’encule dans la nature sans crainte d’être vue. Et je veux l’entendre gémir toujours plus fort à chacun de mes coups de butoir. Je veux sentir dans mes bras et dans son corps chaque secousse de mon bassin. Malgré moi, je gémis pour m’encourager.

    -      Hin…. Hin… Tiens… T’aime ça, hein ?

    -      Oh oui… Continue… Tu es dessus !

    -      Oui, je suis dessus, tu veux plutôt dire dedans !

    -      Non, sur ma prostate !

    -      Alors, prends ça, tu devrais apprécier !

    -      OOOOH OUI, DANS MON CUL ET J’ADORE ÇA…

    -      Tu es sûr ? Et ça, t’aime ?

    Je le claque une fois à droite, puis une fois à gauche, comme si je stimulais une monture. Si je suis tellement homme dans ce moment-là, alors j’espère que lui vit intensément ses sensations de femme. Comme elles, il découvre la plaisir d’être pénétré par un corps étranger. Une bite qui bande rien que pour lui et qui rentre et bouge à sa guise. J’imprime des gestes de plus en plus profonds. J’avance et pousse son corps avec mes deux sexes, l’un qui rentre et l’autre qui semble diriger le premier. Sa croupe me résiste quand je pousse mon bassin à fond, et j’aime ça. J’aime qu’il me résiste, j’ai envie de le bourrer plus fort encore pour qu’il sente ma puissance virile. Nos deux corps tanguent et c’est moi qui fixe la cadence. C’est moi qui donne plus ou moins d’ampleur. Lui me guide juste avec ses sensations. Oui, des sensations toutes féminines de corps pénétré que je comprends presque mieux que ce que je recherche à lui faire.

     

    -      Alors, tu le sens comment ton homme ?

    -      Bien profond !

    -      Et tu la sens comment ta femme ?

    -      Motiver à…. Aaaah oui ! A faire l’homme !

    -      Et toi, tu te sens comment ?

    -      Heureux !

    -      Tu veux dire « heureuse » ?

    -      Oui, heureuse de faire la femme !

    L’un et l’autre nous gémissons sous les efforts comme des animaux sauvages. Le son peut porter au loin, je m’en moque. Au contraire, j’aime l’idée qu’on puisse nous entendre. J’aime l’idée qu’on sache à quel point je domine cet homme qui me donne son intimité pour que j’en abuse. J’aime le bourrer pour lui arracher des gros « Ah oui ! », de sa voix bien grave, mais pleine d’une douce sensibilité. Oui, dans ces moments-là, sa voix a quelque chose de presque féminin. Et elle me parle dans tout mon être car c’est moi qui lui fais découvrir cette jouissance cachée au fond de son corps, sensations que je connais, même si je les devine un peu différentes.

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    Je sens que mon dos fatigue, mais j’ai envie qu’il en profite encore. Alors je me dis qu’un homme, ça sait faire son pacha. Donc à moi de faire mon pacha !

    -      Bon, à toi, de travailler. Moi je me contente de sanctionner si tu fléchis trop à mon goût…

    -      Et comment tu me sanctionnes ?

    -      Comme ça !

    Je m’avance sur lui et glisse ma main le long de son bassin pour la plaquer contre ses bourses et fais mine de les lui serrer…

    -      Alors pigé ?

    -      Oui, chef !

    -      Tu fais peut-être la femme, mais tu restes aussi fragile qu’un homme. Ne l’oublie jamais…

    Le voilà qui se saisit du tronc plus fermement et actionne ses bras et son bassin pour donner de l’amplitude aux mouvements de pénétration. Le pauvre, il se donne de la peine. Et moi, maintenant, je me tiens paresseusement accoudée sur son dos. Et quand j’estime qu’il flanche, un p’tit coup de cravache par ci, un autre par là. En tout cas, il a l’air d’avoir trouvé comment faire pour se donner du plaisir. Je l’écoute avec joie gémir de plaisir. Et cela me laisse tout loisir de mater son cul.

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    Je me redresse pour mieux contempler le spectacle de mon homme en train de se sodomiser lui-même sur mon gode. Le slip qu’il porte lui va très bien. J’aime ses bandes larges sur le côté qui se tendent sur sa chair, tout comme j’adore l’’ouverture qu’il propose sur la partie la plus charnue des fesses. Partie charnue qui, en l’occurrence, se contracte, se tend, se bouge tandis que la longue tige du latex coulisse en lui. Il y a dans ses gestes comme une lenteur sensuelle. Et je trouve finalement terriblement érotique ce mélange de nudité et de vêtements. Je devine même les muscles de son corps se gonfler sous les tissus au rythme de ses déhanchements. A plusieurs reprises, il donne une telle ampleur à ses gestes que je suis obligée de résister pour ne pas reculer. Je porte alors une main au milieu de son dos et une autre sur mes reins pour mieux me stabiliser.

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    Malgré moi, je ne peux m’empêcher de souligner ses ondulations par des petits coups de bassin. Je le fais pile au moment où il s’empale le plus de manière à lui donner comme une impulsion. A chaque fois, j’ai l’impression qu’il rebondit sur moi. C’est aussi ma façon de me sentir dominante, comme si mon bassin frappait une énorme balle en caoutchouc pour la renvoyer contre un mur. Et toujours, elle revient contre moi. A dire vrai, depuis peu, je trouve ses mouvements moins assurés, et je comprends que mon chéri est en train de se branler en même temps. La petite canaille ! Mais, en même temps, je trouve ça chou tout plein. J’aime finalement assez le sentir à ce point excité et qu’il recherche ce plaisir qu’il découvre en lui et qui reste sans doute encore assez mystérieux. Le plaisir de la pénétration est si subtil : qu’un angle, une amplitude de mouvement ou une cadence change et c’est soit l’extase ou la frustration que nous ressentons au fond de nous. Tel est le plaisir féminin. Telle est l’expérience qu’il vit à son tour…

    Je crois que je ne vais pas le laisser s’épuiser à se masturber de la sorte. Je lui claque les mains d’un nouveau coup de cravache pour le lui en empêcher. Mais comme je suis très gentille, je me penche sur lui pour me saisir à mon tour de sa bite et le branler. Mes bras sont un peu courts en fonction de ses mouvements, mais je sens qu’il apprécie, d’autant que cela lui permet de mieux s’empaler sur mon gode. Même si ce n’est sans doute pas assez, mon dos s’est peu reposé, alors je décide d’abandonner son sexe pour reprendre l’initiative, car je veux un final qu’il n’oubliera pas de sitôt et suis prête à me dépenser sans compter.

     

    **

    *

     

    J’ai bien compris qu’il voulait vraiment se faire défoncer le derrière en beauté. Alors je me repositionne à bonne hauteur, toujours derrière lui et m’y adonne avec joie. J’aime avec ma bite lui fouiller encore et encore son intimité secrète afin de lui dévoiler au fond de lui cette féminité qu’il convoite. Malgré toutes ces apparences et le rôle que je joue, je me sens même davantage femme. Certes, une femme qui découvre le plaisir de l’homme à s’immiscer dans un autre corps, à forcer ce corps comme bon me semble, mais, même avec une énorme bite au bas du ventre, je reste une femme.

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    Bien sûr, à découvrir combien on devient forte quand on pénètre l’autre, autant que l’autre devient vulnérable à accepter cette pénétration, je sens aussi en moi une part plus masculine. Et je connais cette vulnérabilité que lui découvre. Et je force cet homme devant moi à explorer le plaisir des femmes à accueillir en elle cette force de l’autre, cette nécessité de s’abandonner toute entière pour avoir accès à la jouissance. Et là, à la place de cette vulnérabilité, moi, je découvre au contraire toute une puissance en moi. La puissance d’exercer sa volonté sur un corps qui s’offre tout entier à moi et dont je prends plaisir à abuser à ma guise.

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    Dommage cependant que ce gode ne me transmette pas l’ivresse des hommes quand ils nous pénètrent et leur soif à assouvir en nous qui semble se rependre dans tout leur corps. Je peux juste l’imaginer. Et dans cette forêt, j’ignore pourquoi, mais je l’imagine parfaitement. Je crois même que je ressens à cet instant tout le pouvoir du phallus. Oui, il est en moi et je l’entends aux gémissements que j’obtiens de cet homme en quête de féminité. Mais j’aimerais tant qu’il puisse jouir en même temps que je le pegg. J’ai beau persévérer là où j’obtiens les vocalises les plus explicités, il semble toujours lui manquer quelque chose. Lui-même semble à la recherche de ce quelque chose. Il doit explorer en lui un nouveau monde de caresses et de sensations. Et je devine comme une frustration à ne pas y accéder totalement.

    -      Allez, je t’autorise à te branler.

    -      Pas simple de me tenir penché avec un bras quand tu y vas si fort.

    -      Jamais content !

    -      Si… Si…

    -      Non, t’es une vraie chieuse !

    -      Comme toi !

    -      Non, moi je suis une enculeuse.

    -      Oui, tu es merveilleuse dans ce rôle ! Mais laisse-moi un peu de répit pour que je m’occupe de ma bite et que je rebande un peu plus dur…

    -      OK… Ou alors…

    -      Ou alors quoi ?

    -      Retourne-toi…

    Je décide à la place de lui prodiguer une fellation dont j’ai le secret. Je dispose la serviette sous mes genoux et m’installe confortablement devant lui, à genoux. A dire vrai, mon dos est soulagé de pouvoir me tenir assise. Sa verge manque effectivement de vigueur, mais ma langue et mes mains savent comment réveiller tout ça. Puis, à mon tour, j’enfourne son gland.

    Sa peau dans ma bouche est un peu fraîche d’avoir été si longtemps à l’air, mais très vite, cette impression disparaît tandis que je sens l’afflux de sang monter dans sa verge et gonfler le gland que ma bouche pompe avec amour. Me voilà à mon tour à genoux devant lui, en position de soumise. Et effectivement, je ne me sens plus du tout forte. C’est lui qui me surplombe de toute sa hauteur. Et c’est cette bite que j’aime et non celle qui pendouille à mon ventre.

    Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4-

     

    A ce propos, je dois pouvoir encore l’utiliser manuellement, non ? Avec de telles initiatives, impossible qu’il se plaigne de moi ! Je réussis à détacher le gode du harnais et l’enfile à nouveau à l’endroit qu’il n’aurait jamais dû quitter si je n’étais pas si gentille. D’une main, je tiens sa verge, de l’autre, je coulisse le gode dans son cul. Je lui enfonce jusqu’aux couilles de latex que je presse vigoureusement contre son périnée. Sa bite se redresse instantanément dans ma bouche pour me dire combien il apprécie. Avec ma langue, je l’excite avec insistance sur son frein et il m’encourage à continuer. Ses gémissements sont de moins en moins ambigus. Il semblerait que mon homme apprécie d’avoir trouvé une bouche de femme sur son passage. Et quelle femme ! Une femme qui sait faire l’homme ! J’en profite pour réduire au minimum mes gestes avec ma bouche pour me consacrer à mon autre main que je descends et remonte avec plus d’amplitude. Il frétille son bassin pour profiter pleinement de la sodomie. Heureusement que ma main le tient vigoureusement car son sexe est à deux doigts de rentrer trop loin sous l’impulsion de mon mouvement de gode.

     

    Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4 et 5 (fin)

     

    Certes, je suis à genoux devant lui, comme si je me soumettais à son désir, mais c’est bien lui qui me supplie mes caresses, m’encourage et me guide. Peu à peu, j’ai même l’impression qu’il est entièrement en mon pouvoir. Et, à dire vrai, dans ces moments-là, c’est typiquement une situation où je regrette de ne pas être davantage ambidextre pour mieux coordonner mes gestes… Oui, la femme parfaite de mon mari se doit d’avoir une grosse bite et d’être ambidextre ! Toutefois, je crois deviner son orgasme tout proche. Que vais-je faire ? Tout interrompre pour le frustrer ? Ou faire une nouvelle fois ma gentille ? Je décide de faire ma gentille, parce que telle est ma vraie nature. Je le fais reculer en avançant à quatre pattes et en le poussant du nez, comme une chatte qui a une idée derrière la tête, jusqu’à un tronc d’arbre. Je lui demande de caler le gode en lui avec l’aide de l’arbre tandis que je le branle maintenant des deux mains en enserrant mes lèvres autour de sa couronne avec ma langue, tantôt qui frétille sur son gland, tantôt qui sort caresser le frein. Et je le branle bien fort, bien fermement comme il me l’a appris, mais pas trop vite pour l’instant pour faire monter en lui son désir. Et plus je serre sa bite et plus je la sens à moi, rien qu’à moi. Oui, plus son sexe m’appartient, plus je sens mon homme tout entier sous mon contrôle, comme si je lisais en lui.

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    Ses vocalises sont de plus en plus fortes et suppliantes. J’aime le regarder dans ces moments où il perd peu à peu le contrôle.  Parfois, je le devine autant concentré à mes caresses qu’à jouer avec le gode logé entre ses fesses. A force de subtiles caresses, je suis parvenue à ce point précis où je sais maintenant quand et comment déclencher son orgasme. Disons à quelques secondes près. Mais je sais qu’il a envie de jouir. Il n’y a qu’à l’écouter gémir pour le deviner. La jouissance masculine est tellement différente de la nôtre, c’est comme si elle devenait trop forte, qu’elle s’accumulait dans son membre et que ce membre virile refusait pour l’instant de libérer cette pression qui s’accumule en lui à force de branle et de caresse. Je sais combien l’homme vit, au travers de ce court instant, le comble de son plaisir masculin. Et pour rien au monde je n’ai envie de le lui gâcher ! Alors je persévère dans mes efforts, malgré la fatigue de mes poignets et de ma langue, pour faire monter davantage ce désir de jouir.

    A son tour, il plaque sa main derrière ma tête.  Tout comme lui tout à l’heure, je me sens comme prise au piège. Peut-être veut-il se venger ? J’essaie de reculer ma tête, mais il la maintient fermement. Au contraire, il veut que je l’enfourne davantage.

    -      Oui, plus loin… Voilà.

    Alors, toujours, je m’active encore et encore, jusqu’à ce que cette pression en lui soit si forte qu’elle finisse par expulser cette foutue éjaculation. J’en approche. Je le sais. Sa sensibilité devient telle que j’aimerais libérer ma bouche, mais il ne relâche pas nuque… Oui, sa bite devient un endroit comme qui dirait dangereux pour moi si… Soit il veut savourer jusqu’au dernier instant ma caresse, soit il veut jouir dans ma bouche

    -       Ah ça vient ! Oui, c’est bon ! AAAAAAH OUIIIIII !

    Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4-

    Voilà enfin la libération tant attendue ! Son étreinte s’est d’un coup desserré. J’ai à peine le temps de retirer ma bouche pour ne pas avaler, malgré moi, ce sperme. Le premier jet, toujours plus puissant, touche même mon menton. Après tout, l’ai-je peut-être mérité ? Une odeur forte flotte immédiatement autour de moi. Le liquide épais sort maintenant par petites saccades, en fonction des spasmes incontrôlés qui l’étreignent. Je le branle, tout en douceur, encore quelques secondes. Le sperme se repend maintenant largement sur ma main qui s’immobilise peu à peu. C’est de plus en plus gluant, un peu répugnant, mais c’est un peu le prix à payer. Oui, le prix de la victoire pour la femme est très gluant... Sous mes doigts restés serrés autour de sa verge, je devine chaque infime soubresaut de son plaisir. Je le regarde. Ses yeux sont fermés sur lui-même. Tout entier à ses sensations. Sur son visage, j’y lis tant d’intensité... que je ne semble plus exister. Et un dernier spasme de plaisir lui fait encore tendre son sexe et sursauter son bassin. Puis il ouvre les yeux, si heureux. Voilà comme une vraie femme prend soin d’une bite. Mais ça, mon homme ne pourra jamais me le faire.

    Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4-

     

    **

    *

     Partie 5- MISSION TERMINEE : Le Parfum de la Victoire

     

    Voilà, son orgasme est terminé. Pourtant, à peine une poignée de secondes s’est écoulé, mais l’orgasme masculin a la propriété de figer le temps... J’ai toujours le sperme sur le visage, mais, bizarrement, j’en suis fière… C’est comme s’il m’en avait fait cadeau. Oui, comme une petite récompense. Une marque qui prouve que nous n’avons pas rêvé.

    Je redresse mon dos, toujours assise, et cherche à m’essuyer les mains… Je saisis alors derrière lui ses fesses et y frotte mes mains. Après tout, sauf erreur de ma part, elles sont toujours à moi. Rien qu’à moi. Je souris car le gode est sur le point de tomber. Je le saisis in extremis et l’essuie quant à lui avec un kleenex. Tout comme je finis par essuyer mon menton. L’odeur de sperme chaud reste prégnante malgré ça à mes narines. Et j’ignore si elle m’indispose vraiment ou si elle ne me trouble pas plutôt. En fait, je souris car je me dis que telle est l’odeur de la victoire sur l’homme. Et d’ailleurs, il dépose ses lèvres étrangement juste à cet endroit. Un baiser léger comme un papillon qui me donne des frissons tout plein.

    -      Tu sais quoi ? J’aime que tu portes cette odeur…

    -      Pourquoi ? Parce que cela montre que je t’appartiens ?

    -      Peut-être. Ou parce qu’elle me rappelle tout ce que tu as osé faire. Qu’elle montre combien tu n’es pas n’importe quelle femme…

     

    Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4 et 5 (fin)

    Finalement, je crois qu’il a raison, cette odeur m’excite aussi… Bizarrement, elle me fait sentir davantage femme. Il me tend la main pour m’aider à me relever. Ses yeux brillent quand il me regarde. A cet instant, face à lui, je me trouve belle, même avec ce jean et ce pull. La prochaine fois, je serais plus belle encore, je n’aurai pas besoin de cet allure d’homme pour lui faire vivre un tel moment. Je serai la féminité même. Je serai une tigresse rien que pour lui, prête à lui goder le derrière de la même manière. Et je l’habillerai à ma guise pour lui faire vivre d’autres expériences… A son tour, il s’approche de mon oreille.

    -      Et aussi peut-être parce que ça me trouble…

    -      Tu n’en as pas assez eu ?

    -      Oh si ! Mais toi, tu mérites plus ! J’ai envie à mon tour de tant te donner… Et cette odeur est là pour me le rappeler.

    -      Et tu crois que je suis censé trouver ça mignon ?

    -      Non. Je te dis juste ça pour que je puisse t’arroser davantage la prochaine fois !

    -      T’es bête !

    Je ramasse la cravache à terre et le menace avec. Il s’approche de moi. Je fais mine de vouloir le frapper mais ses mains se saisissent de mes poignets et me fait reculer en arrière. Je sens toute la force de mon homme dans cette étreinte. Quelque chose de dur et rugueux heurte mon dos. Je suis maintenant plaquée contre un arbre. Il m’embrasse fougueusement, comme un animal sur sa proie. Et j’adore ça… Je suis à cet instant sa chose. Dommage que je ne sente rien bouger contre moi au niveau de mon bas ventre. Cela reviendra. Mais j’en aurais eu tellement envie à cet instant précis. Oui, je lui rends son Phallus de bon cœur car je le veux maintenant en moi. Je me libère une main pour le tâter. Tout est mou.

    -      Oui, je sais, mais, promis, je te ferai signe dès que ça revient.

    -      Sniff…

    Il m’embrasse encore, mais je préfère interrompre son élan car cela me donne trop envie. J’ai besoin de reprendre mes esprits et de penser à autre chose. Quand je me dégage de lui, la forêt autour de nous est restée strictement la même, sauf que moi je  me sens différente. J’ai ce sentiment en moi que je suis devenue plus complice de mon homme et qu’il est fier de moi.

    Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4 et 5 (fin)    Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4 et 5 (fin)

    Nous rangeons nos petites affaires et prenons le chemin du retour. Nous nous tenons par la main, comme deux jeunes amoureux. Ce contact me suffit. J’ai quelques douleurs partout dans le dos et lui m’avoue être également mal en point et avoir les cuisses en compote de s’être tenu debout pendant toute notre séance de pegging à résister à mes assauts. Je regarde l’heure, il s’est écoulé une heure depuis notre départ de la maison. Le temps est passé si vite… sauf qu’entre nous, il s’est passé quelque chose de très fort, quelque chose qui fait qu’on est un couple, quelque chose qu’on ne partagerait peut-être avec personne d’autre au monde. Et inutile d’en parler pour le savoir. Il y a juste à sentir ses bras me serrer très fort contre lui pendant un long moment. J’aime cette ultime étreinte.

    Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4 et 5 (fin)

     

     

    Sa main s’enroule autour de ma nuque et ma tête se cale contre son poitrail. Son autre bras me serre très fort contre lui. Je me sens bien, si protégée de tout. Et toute petite dans ce monde de géants. Et lui semble si fort. Ce moment de tendresse après tant d’efforts pour jouer ce rôle si étrange est juste parfait. Dans ses bras, j’oublie tout, toute la tension, toutes mes peurs de ne pas être à la hauteur. J’appartiens toute entière à cet homme contre moi. Et là, je m’y sens si fragile et si femme. Et j’aime me sentir si fragile et si femme dans ses bras puissants qui nous serrent l’un contre l’autre comme si nous n’étions plus qu’un. Il m’embrasse encore pile à l’endroit où il a joui sur moi. Encore cette odeur que j’avais fini par oublier. Elle flotte encore. Je crois qu’il rebande. Décidément, un vrai parfum de victoire. Mais je n’ai plus la tête à ça. J’ai uniquement besoin de sa tendresse qu’il me donne. Et lui aussi n’en réclame pas davantage.

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    Décidément, je crois que jamais je ne pourrais être un vrai homme. Tout au plus je serais cette femme qui sait enculer son mari et comment lui en donner l’envie. Une femme qui commence tout juste à percer le secret contenu dans son Phallus. Un phallus que j’ai pourtant adoré porter dans cette forêt. Le silence entre nous est merveilleux. Il dit tout ce que les mots ne sauraient dire. Pourtant, j’ai envie d’entendre sa voix, qu’elle me dise qu’il est heureux et que j’ai bien rempli ma mission. Alors, je me mets sur la pointe des pieds pour lui mordiller tendrement l’oreille et lui chuchoter :

    -      Alors, mission impossible accomplie ?

    -      Mieux que ça, ma petite femme a été à la fois l’homme et la femme de mes rêves. Et moi ?

    -      Toi ? Pas trop mal. Mais tu as encore du boulot pour être les deux... Quant à la femme de mes rêves, oui, tu as sa voix et ses poils ! Quant au reste, va falloir le travailler.

    Et je sais déjà comment… Oui, nos petits jeux ont encore du potentiel à explorer... Un potentiel qu’une partie de moi refusait d’accepter. Il y a tant à découvrir en nous. Tant à découvrir en l’autre. Ou en soi-même. Tant à exiger de l’autre et de soi. Et tant de complicité à vivre et partager. En attendant, je crois que nous pouvons regagner la voiture avec, pour ma part, le sentiment d’avoir largement accompli mon travail. Et, tel l’écrin impassible dont nous rêvions chacun, la forêt qui nous entoure est devenue la complice silencieuse de ces petits jeux rien qu’à nous. Et que je suis tout à fait prête à revivre.

     

    Fin... (mais si vous avez apprécier cette histoire,nous vous invitons à découvrir le roman érotique de Songe ici dans une histoire qui mêle sexe, initiation de la femme au gode-ceinture, bien évidemment, avec du fantastique)

    Petite ballade sylvestre en automne: Chapitre 4 et 5 (fin)

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  • Commentaires

    1
    Steve
    Dimanche 13 Octobre 2019 à 00:10

    Déjà fini? J'avoue que cette fin m'a donné envie de relire la nouvelle dans son entier. Je trouve qu'il y a un joli travaille de progression. Vous savez bien joué avec les attentes du lecteur et le frustrer ce qu'il faut, jusqu' au fil en forme d'apothéose. Je suis vraiment fan de vos récits! Je voulais vous dire que j'ai acheté votre roman et que je l'ai lu et que je l'ai beaucoup aimé. Mon épouse a commencé de le lire. A ma grande surprise, elle accroche elle aussi. Elle m'a dit que ça se sentait que c'était écrit par une femme, parce qu'elle aime vos personnages féminins. Je n'ai pas encore osé lui dire que ce n'était pas le cas...^^

    J'espère pouvoir m'en servir pour lui parler pegging… J'ai hate qu'elle découvre la rencontre de votre héroïne avec la magicienne. pour voir sa réaction… Si ça marche, on achètera votre guide, promis!

    Par contre, vous comptez publier la suite du roman bientôt?

      • Dimanche 13 Octobre 2019 à 00:22

        Merci pour ce retour enthousiaste! Je suis heureux que cela vous ai donné envie de découvrir le Jeu de la Séductrice. Par contre, la nouvelle que j'ai diffusé ici est beaucoup plus ancienne que mon roman. Je pense avoir progressé... ^^

        Et je pense que votre façon de faire avec votre épouse est une excellente tactique. J'ai vraiment écrit ce roman pour que la femme soit intriguée avec le pegging et qu'elle s'interroge sur ce que cela implique pour elle. le tout en douceur, avec un personnage qui doute, s'interroge, et non une nympho qui ne passe qu'à ça.

        Je serais d'ailleurs ravi de savoir ce qu'elle en a pensé. Yvresse m'a un peu aidé à avoir ce regard "féminin" avec les difficultés qu'une femme peut rencontrer, mais j'aimerais bien qu'une autre femme me fasse un retour, parce qu'elles ne fonctionnent sans doute pas toutes comme elle..

        Pour la suite? En fait, j'ai écrit toute l'histoire, mais j'ai complètement révisé l'intrigue du premier volet, ce qui fait que je dois retravailler la suite. Question érotisme, je ne vous cache pas que la suite va encore plus loin... J'ai voulu faire assez sage, justement pour ne pas effrayer les lectrices qui seraient un peu hostiles sur le sujet. J'ai commencé la réécriture le mois dernier, mais j'ai encore beaucoup de travail...arf

        En tout cas, un grand merci pour ce message qui me fait très plaisir! happy

         

        Songe 

    2
    Corolanus
    Dimanche 13 Octobre 2019 à 17:11

    Ouuuu ! J'adore !

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    3
    Corolanus
    Dimanche 20 Octobre 2019 à 17:41

    Il faut que je touche du bois ! J'ai passé une étape importante la nuit dernière. Nous avons fait l'amour comme lors de toutes nos soirées du samedi. Ma conjointe semble trouver se qu'elle a besoin dans nos routiniers ébats sexuels. Je me lance dans un cunilingus intense et motivé. Pendant qu'elle me fait une fellation en position 69. Avec appétit, je m'engage vers la suite, son anus qui m'excite et le titille du bout de la langue. Elle me fait comprendre qu'elle n'aime pas ça car cela la rend mal à l'aise. À ce moment là mon pénis se met à ramollir dans sa bouche. Je m'arrête déçu, je n'ai plus le goût de continuer. J'ai envie d'abandonner, fatigué de faire face à tous les bloquages infantiles de ma conjointe à propos de ce qui est normal de se passer dans un couple quand il s'aime. Elle voit mon désappointement et ne sait quoi faire. Elle ne veut surtout pas que je m'engage dans cette voie du renoncement qui pour moi se dirige droit vers une conclusion définitive. Je lui fait part de mes frustrations constantes des dernières années. Depuis un certain temps ce discours devient répétitif et semble finalement donner aucun résultat. C'est à ce moment que je décide de jouer le tout pour le tout. Je mets tout " ALL IN " et je suis bien déterminé à mettre toutes mes cartes sur la table. Mes amis, que j'aime donc ma femme. J'ai manqué de confiance en elle et aussi en moi, cela m'attriste mais rapidement je laisse ce mauvais sentiment à mesure que les mots me sortent de la bouche. La lecture de vos billets m'a donner beaucoup de matière pour me libérer du poids de mon fantasme. Elle a tendue l'oreille tout le long de mon discours. L'histoire du refus de vos ex de pratiquer le pegging me trottait en tête. Je lui expliquait les massages prostatiques. Les bienfaits et les plaisirs qu'ils peuvent procurer et l'expérience de couple unique qu'ils représentent. Elle me montre son intérêt et sa curiosité. Elle accepte qu'on aille faire des emplettes dans un sex shop et y voir ce qui peut s'offrir à nous. Cela sera la première fois que nous ferons ensemble ce genre particulier d'excursion. Je vous écris ce matin le coeur léger et heureux d'avoir fait ce pas qui me libère d'une crainte quand même justifiée mais qui bifurqua dans une direction dont je ne m'attendais pas du tout. Je n'avais pas planifié d'en parler tout de suite mais la situation me poussa à réagir. Ce fut une des plus belles conversation d'oreiller que j'ai eu avec elle car c'est une personne très timide. Je vois qu'elle a fait un très gros effort et je lui en suis reconnaissant. Elle s'aperçue du sourire éblouissant qui apparu sur mon visage et me fit remarquer que cela ne s'était pas produit chez moi depuis longtemps. Ma conjointe a subit dans les derniers cinq ans des interventions pour le remplacement mécanique de deux hanches. Durant ce temps elle souffrait beaucoup et faire l'amour pour moi devenait pénible tant la douleur nuisait à nos ébats. Aujourd'hui ma femme est toute neuve et est beaucoup plus souple qu'avant. De la revoir redevenir elle même fait du bien et l'accumulation des frustrations de toute cette période sortent par la soupape en sifflant. Je suis très heureux de ce dénouement que j'ai tant espéré mais qui m'effrayait au plus haut point. Elle veut que l'on tente cette expérience. Comme on dit chez moi "JE CAPOTE " !yes

    4
    Dimanche 20 Octobre 2019 à 18:37

    Alors voilà un témoignage qui nous fait chaud au cœur. happy Nous espérons que la suite sera à la hauteur de tes espérances. Plusieurs de nos billets ont été écrits un peu pour ce genre de partenaire, pas toujours très à l'aise avec la sexualité mais qui reste à l'écoute de l'autre. Le jeu que nous avons proposé la fois d'avant est déjà un premier exercice qui peut permettre qu'elle se teste. On devrait en mettre un autre peut-être encore plus simple et troublant pour elle (et pour toi). Bien entendu, nos guides peuvent également l'aider (et toi aussi), surtout le premier tome qui aborde notamment tous les petits réglages psychologiques pour être le plus "synchrone " possible.

    En tout cas, raconte-nous la suite!

     

    Songe et Yvresse

      • Corolanus
        Dimanche 20 Octobre 2019 à 23:17
        Merci à vous deux et je n'y manquerai pas. J'imagine plus tard que ma conjointe puisse vous confier elle même ses appréciations et questionnements. Je me sens comme un gamin qui reçoit sa première bicyclette. Je vais lire votre blog avec elle et lire ensemble vos bouquins. À suivre !
    5
    Corolanus
    Mercredi 13 Novembre 2019 à 17:39
    Un billet sur le "fingering" et le "fisting" anal serait bien aussi comme intro au pegging amoureux !
    6
    Dimanche 1er Décembre 2019 à 10:03

    Quel joli récit ! excitant et touchant, du début à la fin. 

    Tu me donnerais presque envie d'écrire 

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