Pour qu’une séance de pegging soit réussi pour les deux partenaires, le premier préalable consiste à s’assurer le gode ceinture soit parfaitement fixé au corps de manière à avoir le moins possible de perdition dans les mouvements de bassin que prodiguera madame.

Exemple de mauvaise fixation:

 

On ne connait pas la suite, mais on peut supposer qu’il y aura du jeu rien qu’à la façon elle fixe la partie ceinture. La partie haute du harnais est là pour éviter que le gode descende. La partie entre les jambe pour que ça reste fixé au corps. La plupart des harnais propose même deux autres lanières qui passe entre les jambes pour renforcer l’adhésion du gode au bassin.

Ensuite, il faut trouver un geste qui offre le moins possible de perdition entre le mouvement du bassin et le mouvement du gode dans l’anus. 

Voici des exemples que je qualifierais de peu efficaces au vue des efforts consentis par la femme:

 

 

Souvent ce genre de résultat est obtenu avec un port très haut du gode.L’avantage, c’est que c’est plus esthétique à porter parce que madame “bande” plus à l’horizontal, mais il lui faudra des mouvements très amples pour obtenir un mouvement souvent assez réduit. Or, le geste de pénétration sollicité certains muscles que la femme actionne souvent moins que l’homme, donc ces gestes occasionneront une fatigue assez inutile.

Un port plus bas est moins esthétique mais plus efficace concernant la gestuelle des pénétrations.

Voilà ce que donne des gestes “efficaces”.

 

 

Ici, pas de perdition, chaque centimètre du bassin se traduit en centimètre de pénétration.. Le gode pénètre ainsi très largement l’anus, sans forcement déployer de gestes de grande ampleur. Celui d’en haut se fait avec un bassin qui avance. Ce geste est très efficace mais sollicite fortement les reins.

Même chose pour celui-ci:

 

Très efficace, l’impulsion verticale supplémentaire permet vraiment de “bourrer” le cul de monsieur, donc c’est top pour lui, mais c’est une horreur à faire longtemps pour madame.

Le geste suivant est intéressant car très ample mais moins fatigant:

 

Il donne à peu près le même résultat, très bonne impulsion contre les fessiers de l’homme, sauf qu’ici, la femme utilise le mouvement de balancier du bassin, qui fatigue beaucoup moins que le “coup de rein”, tout en étant assez puissant (un peu moins, certes que le coup de rein). En position debout, cela permet de compenser également en partie l’écart de taille (mais cela sollicite fortement les jambes).

Même technique de mouvement de balancier, mais sur une position couchée plus reposante pour tout le monde.

 

Un dernier geste. Ici, on pourrait croire que le mouvement du gode est réduit et occasionne peu de plaisir:

 

On va dire que c’est un autre plaisir. Ici, le gode reste enfoncé à fond, le plaisir vient du sentiment de puissance subi compte des secousses prodiguées dans les fessiers de l’homme. De plus, si le gode dispose de testicule, celles-ci vont venir stimuler le périnée, qui, même pour l’homme, est sensible.

Nous tacherons de revenir sur le sujet. En espérant que cela ait pu vous éclairer.