-
Récit érotique- Une petite balade sylvestre en Automne (partie 2)
Comme avec le sondage, certains d'entre vous ont manifesté un intérêt pour des récits érotiques, on poursuit notre petit feuilleton érotique. Cette nouvelle est un peu particulière parce qu'elle a été écrite aussi pour vous aider à dialoguer en couple sur le pegging. Si cette approche vous touche, nous vous rappelons que vous pouvez vous procurer le premier volet du roman érotique de Songe, intitulé "Le jeu de la séductrice". Pour lire les chapitres précédent, àmerci d'utiliser les tags que vous trouverez en bas de l'article (à condition de l'ouvrir! )
Bonne lecture...
Partie 2- Opération : Prise de Possession des Lieux
Voilà le jour J. Le temps a des allures typiquement automnales, pas trop froid, donc idéal pour notre petite ballade rupestre et coquine. Et je crois qu’il l’a parfaitement compris. Quand il m’a demandé si j’étais prête, j’ai fait celle qui ne voyait pas de quoi il parlait, parce qu’elle avait déjà la tête pleine de préoccupations, je devine comme une déception de sa part, comme s’il savait qu’il allait être déçu. Je suis assez fière de moi. Ce matin, si j’ai la tête pleine, c’est au contraire pleine des envies que j’ai de lui faire vivre son fantasme et d’y greffer le mien. Il ne le sait pas, mais moi aussi, j’ai hâte de pouvoir le pegger. Depuis mercredi, je ne cesse d’y penser, tout comme je ne cesse de m’imaginer en train de le corriger dans la nature avec ma cravache. Dans mes rêves, je m’y donne à cœur joie. Quand je le vois devant moi, dans la réalité, je sais que je n’irai pas si loin. Après tout, c’est la beauté de pouvoir fantasmer que d’oublier cette réalité et les contraintes…
J’ai même, ces derniers jours, écumé quelques chemins en rentrant du boulot pour trouver l’endroit de notre ballade. Pour ça, j’aurai besoin d’un sac à dos, d’une serviette, de kleenex, de lubrifiant, d’un plug histoire de le détendre et de ma cravache, histoire de le détendre également… Il ne m’a pas vu rassembler toutes mes petites affaires. Je n’ai plus que le gode a glissé dans le pantalon et me voilà prête : jean et chemise de mon homme à carreau par-dessus un pull, avec des bottines avec des talons, histoire de ne pas être trop petite dans le feu de l’action. J’espère juste que lui sera prêt, car j’ai envie de le pegger avec son slip backless… A la limite, lui, il n’avait que ça à penser. Et si ce n’est pas le cas, il aura droit à une bonne correction sur ses fesses !
- Tu viens faire les courses ?
- Heu… Tout de suite ?
- Oui, tout de suite !
J’exhibe ma bosse turgescente sur mon bas ventre, coincée dans mon jean moulant. Vu son sourire, je crois qu’il a compris. Notre jeune fils nous demande s’il peut venir, « non mon mamour, pas cette fois »… Lorsque nous montons dans la voiture, un petit silence règne un bon moment. C’est lui qui arrive à détendre l’atmosphère.
- Tu bandes comment ? Long ou large ?
- Pourquoi ? Tu es inquiet ? Et si j’en avais acheté un spécial pour l’occasion, tu dirais quoi ?
- Je dirais que ce serait une sacrée surprise.
- En tout cas, toi, tu es mal barré pour faire la femme, vu comme tu bandes déjà !
- Alors, je peux te la sucer pendant que tu conduis ?
- Laisse-moi plutôt regarder la route. Je veux te faire la surprise…
- Je suis sûr que tu as pris le long…
- Je ne te dirai rien ! Pour une fois que je te propose de travailler ton imagination… Fais-moi confiance, dans pas longtemps, tu sauras ce qui se cache sous mon pantalon…
- T’es pas drôle !
- Rapproche ton bassin de moi que je profite une derrière fois que tu sois un homme. Parce qu’une fois dehors, tu seras ma femme et je serais ton homme, on est d’accord ? Car c’est bien ce que tu veux ?
- Bien, « mon » chéri… Mais tu me fais soudain peur…
- Rigole, tu verras !
Ma main farfouille son entrejambe. Je sens son sexe bien comprimé dans son slip.
- Sors-moi tout ça, c’est un ordre !
- Bien, chef !
Le voilà qui fouille dans son pantalon et en extrait une bite toute raide. Je me dis que j’ai la même dans mon pantalon qui me compresse le bas ventre et qui me frotte ma cuisse, mais en bien plus grosse.
Moi aussi, j’ai hâte de la sortir pour me libérer de la tension. En essayant de rester concentré sur la route, sauf que, compte tenu de la longueur de mon bras, je le caresse plus ou moins habilement. La situation m’émoustille pourtant bien plus que je ne le voudrais et me donne envie de lui. A dire vrai, je suis terriblement excitée de vivre la suite. Comme nous approchons, je préfère cesser de me distraire pour repérer le coin tranquille que j’avais choisi. La voiture s’enfonce maintenant dans le chemin, qui longe un champ en bordure de forêt. La route est moins bonne que je ne l’avais imaginée, ce qui me laisse encore moins plus le temps de m’occuper de son sexe à l’air. Après tout, inutile d’aller plus loin, autant se garer au plus vite du moment que nous soyons proche du bois. Et ce ne serait vraiment pas de chance que nous soyons dérangés…
Il remballe son attirail avant de descendre et je lui confie mon petit sac à dos. La forêt commence avec un fossé. Il l’enjambe en faisant un pont et me porte pour le traverser. Il y a pas mal de ronces devant nous. Je suis obligée de faire des grand pas pour les éviter. Et à chacun d’eux, le gode que je porte me gêne terriblement. J’aurais bien envie de le sortir, mais j’ai peur qu’on puisse nous voir du champ derrière nous. Je décide de marcher en le lançant devant moi et de sortir dès maintenant la cravache pour le faire avancer là où j’en ai envie, histoire de me mettre dans le bain. Par petits coups sur sa croupe, je le dirige tantôt un peu à droite, tantôt à gauche, tantôt à marcher plus vite. Il se montre parfaitement docile. En fait, j’ignore totalement où je vais, mais j’y vais avec un entrain certain. Et inutile de me mentir, je suis terriblement impatiente et excitée de ce qui nous attend.
**
*
Les ronces ont disparu. Des fougères et des longues herbes sèches parsèment le sol d’un début de clairière. A partir de cet instant, je dois penser en homme. Oui, je suis un homme et non plus une femme. Ca pense comment, un homme ? Avec sa bite ! Surtout quand il bande ! Et moi ? Euh… Oui, y a pas de problème, je sens très bien la tension dans mon pantalon. Donc je suppose que je peux dire que je bande. Non, je ne suppose pas, je dois me dire que je bande dur comme mon homme. Je bande dur, comme mon homme… Je bande dur, comme mon homme… Je bande dur, comme mon homme... D’ailleurs, lui aussi, il bande. Je le vois très bien. Et après ça, il va me faire croire qu’il va pouvoir penser comme une femme ?
D’ailleurs, j’aurais bien envie de lui caresser à nouveau le sexe, histoire de sentir combien il est dur… Oui, j’aime m’en saisir, car c’est comme si j’en prenais le contrôle… Je sens alors sa verge se raidir, me résister quand je la serre bien fort…
Sa peau coulisse jusqu’à l’excroissance du gland. Et j’aime maintenant tenir ce gland dans ma bouche… Mais je m’égare, ce n’est pas de ça dont il s’agit, mais de l’inverse. C’est à lui de découvrir cette chose. C’est à moi de l’initier à sentir tout ça. Et je vais le faire. Et je sais comment, je vais d’abord le forcer à me branler un peu. Pour l’instant, ma bite est toujours collée à ma cuisse et marcher avec est toujours aussi perturbant. Régulièrement je tente de la décoincer pour réduire ma gêne. Vivement qu’il me soulage un peu. Je suppose que lui aussi éprouve la même chose quand il la sort de son pantalon toute raide : un vrai soulagement !
La route a disparu derrière nous. On devine parfois le bruit d’une voiture au loin. Le ciel nuageux d’automne fait régner autour de nous une douce pénombre, comme si nous étions déjà en fin d’après-midi. J’ai encore envie de m’enfoncer un peu dans le bois. Mon cœur bat plus fort, comme si je m’apprêtais à faire quelque chose d’interdit. Pourtant, aucun doute, visiblement nous sommes complètement seuls. Pas de bruits autour de nous si ce n’est celui de la forêt.
Nous marchons en silence, mon cœur bat très fort ; à son silence, je devine que le sien bat certainement aussi fort que le mien. La forêt avec ces feuillages marron et jaune au-dessus de nos têtes devient comme un écrin, tandis que les feuilles déjà mortes sous nos pas forment un tapis moelleux. Un tapis sans doute tout à fait confortable pour des ébats érotiques, même si certainement un peu trop humide. Peu à peu, l’idée de devenir un homme prend corps en moi. Je marche d’un pas plus décidé. Je regarde autour de nous pour choisir l’endroit qui me conviendrait. La cravache entre mes mains résiste à la torsion que je lui inflige. Et je me dis que j’aime qu’on me résiste de la sorte.
Et l’endroit commence à ressembler à celui que j’imaginais. Le moment fatidique approche. Je devine d’ailleurs sa hâte de commencer notre petit jeu. Son jean moule parfaitement les rondeurs de son derrière. Allez, bing, un petit coup sur la droite. Non, pas si à droite, bam, un autre petit coup à gauche. J’obtiens ce que je veux de lui avec cette cravache. Mais je crois que j’ai un peu peur de ce qui nous attend. En fait, c’est moi qui tarde à me lancer, car son obéissance prouve que lui est tout à fait prêt.
**
*
L’air est même un peu frais, je suis contente d’avoir une deuxième épaisseur et de ne pas avoir à me dénuder pour la suite. Le pauvre, il va avoir les fesses toutes froides. C’est pourquoi je dois le fesser un peu avant… Oui, lui réchauffer les fesses de la sorte va être très amusant. Surtout si j’arrive à oublier ma peur de lui faire mal… Après tout, c’est un peu le but. Et il est un homme, il doit me montrer qu’il surmonte la douleur, y compris en tant que femme !
Il va falloir lancer le jeu. Je sais que c’est moi qui dois prendre la parole pour qu’il commence. Sauf que rompre maintenant ce silence m’effraie un peu. Surtout qu’il s’agit de la scène de la fellation. Je cherche une phrase pour détendre l’atmosphère. De toute façon, le gode me dérange de plus en plus. Il a besoin de prendre l’air. Je repère un arbre qui sera parfait pour me caler. Je commence discrètement à défaire ma braguette. Il a repéré mon geste et se met à sourire.
- Quoi ? J’ai eu une putain de gaule ! J’ai le droit non ?
Ma phrase est sortie toute seule. C’était la phrase parfaite pour me donner envie de jouer… Il a le sourire jusqu’aux oreilles. Je l’affronte du regard et me poste un peu déhanchée un tapotant mon mollet avec la cravache.
- Approche et sors-la de mon pantalon puisque que tu en meures d’envie !
- Oh, mon chéri, tu m’impressionnes. Elle est vraiment énorme !
Ça me fait bizarre qu’il me dise « mon chéri », mais effectivement, c’est ce que je suis : un homme. Et je dois voir mon homme en femme, malgré sa magnifique et authentique érection à lui aussi. Pas facile de l’ignorer celle-la, quand on est aussi femme que moi. Mais, moi, j’en ai une plus belle encore dans le pantalon. Et c’est avec soulagement que je le sens farfouiller ma braguette et enfiler sa main pour en extraire ma putain de bite en érection. Il regarde le spectacle, toujours avec ces yeux amusés qui me montrent combien il est content que je joue mon rôle. Oui, moi aussi, je suis content pour lui, mais je ne veux pas que ce soit si simple pour cette « femme » qui me sourit. A moi de lui donner du « ma chérie », mais à ma façon. J’ai décidé que nous ne serons pas un homme et une femme, mais deux femmes avec une bite. Donc lui aussi va me sortir la sienne.
- Ma chérie, toi aussi, tu vas me sortir ta bite que je puisse mesurer l’effet que je te fais !
- Oui, mais je ne peux pas lutter contre la tienne…
- M’en fous. Je veux être sûre d’être le vrai homme de nous deux.
En attendant, je le regarde faire en me branlant vigoureusement la mienne. C’est vrai que le gode a des dimensions pas très raisonnables. Je peux y mettre sans problème les deux mains. Ce qui me fait le plus d’effet n’est pas forcément mon geste mais son regard sur moi. Visiblement, ça lui fait des choses. Et ça, ça m’amuse autant que ça me trouble un peu.
- Alors, elle te fait quel effet, ma grosse bite ? Tu aimes me voir la branler comme ça, avoue !
- Tout à fait. Et ne me demande pas pourquoi ça me fait autant bander, je n’en sais rien. Tu veux que je te montre comment on fait ?
- T’as trouvé que ça comme prétexte pour te masturber devant moi ?
Alors je m’amuse à gémir, comme il me l’a si souvent demandé. A son tour, il se met à se branler en me regardant. Son geste est plus rapide, je note qu’il se tient les jambes écartées, le bassin en avant et qu’il ne recouvre jamais tout à fait son gland et que, parfois, il ralentit même pour faire des gestes plus amples en descendant le plus bas possible. Peut-être pour remobiliser son érection ? Moi, je n’ai pas ce problème. Ma bite bande tout le temps et est toujours prête à l’emploi. Pas comme la sienne. Je suis finalement un mec beaucoup plus simple que lui. Tandis que j’ajuste mes gestes et ma position sur lui, je le vois également remuer légèrement son derrière, sans doute emporté par l’impulsion de ses caresses.
Quand j’y pense, ce mode de caresse est très bizarre, et s’il veut faire la femme, il va falloir qu’il apprenne à se masturber différemment, d’une manière plus féminine et sur un corps plus féminin. Tiens, une idée à garder pour la prochaine fois… Lui aussi découvrirait peut-être que jouer à l’autre sexe n’est pas si aisé quand on n’éprouve rien ? Tiens, je remarque aussi qu’il a souvent la bouche grande ouverte quand il se branle (et également que lui ne gémit pas contrairement à ce qu’il me le demande pourtant de faire). Et il croit vraiment qu’il va réussir à faire la femme en se comportant ainsi ? Mais je crois qu’il va être temps que je redevienne femme pour lui apprendre la dure réalité d’être femme. Oui, je vais le dominer et le mettre dans le droit chemin !
- Qui t’a autorisé à te caresser ? Approche !
- Bien, mamour.
- Non, pas mamour ! Je suis ton chéri et tu es ma chérie. L’homme, c’est moi. Toi, tu as peut-être l’impression d’avoir encore une bite, mais dis-toi qu’elle ne t’appartient pas. C’est ma chose. Et que, pour ce qui te concerne, la seule bite qui compte pour toi est logée dans mon pantalon !
A mon tour, je me saisis de la sienne pour le branler. Me voilà avec une dans chaque main. Je les manipule fermement tour à tour. Mais je préfère indéniablement celle en chair, si chaude et douce à mes doigts. Je gémis d’excitation histoire de le troubler. Je le sens qui commence à tanguer du bassin sous mes caresses et que son sexe se durcit encore sus l’effet de mes grognements de plaisir. Alors à mon tour, je tangue avec le mien pour jouer davantage à l’homme, comme si mes branles me donnaient envie de pénétrer l’air. Je sens ce membre viril avancer devant mon corps, de manière quasi menaçante. Et bizarrement, cela me donne envie de le pousser jusqu’à revivre cette ferme résistance de son cul devant moi. Je crois que la situation m’excite vraiment. Et j’entends également mon chéri, -non, pas mon chéri mais ma chérie- gémir à mes branles. Il ou « elle » me regarde et je n’aime pas ce regard. Je sens qu’il me juge comme si je ne le faisais pas encore assez bien à son goût. Toujours la même chose. Et d’ailleurs, ça ne manque pas !
- Essaie de gémir davantage comme si tu te caressais ton propre sexe. Ca t’aidera surement à rentrer davantage dans ton rôle…
Parce qu’il trouve que je ne suis pas assez dans mon rôle à porter ce gode au milieu d’une forêt ? Il croit qu’il y a beaucoup de femmes qui se plieraient à ce jeu ? Je sens vraiment un profond agacement monter en moi. Vraiment, ça m’agace. Je crois qu’il a compris que sa phrase a cassé le jeu.
- Je ne voulais pas te vexer… Juste que tu te rapproches de mon fantasme…
- Et comme ça, c’est mieux ?
Alors, je force le trait avec les mêmes gémissements que si j’étais moi-même pénétrée, comme si, effectivement, j’avais une vraie bite en bas du ventre que je branle. Son sexe à lui se redresse immédiatement dans ma main. Est-ce m’entendre simuler mon plaisir ou est-ce l’image que je lui renvoie ? En tout cas, il me regarde avec de grands yeux plein de convoitise.
Alors je ferme les yeux et continue mon numéro, toujours avec une bite dans chaque main que je serre de plus en plus fort, pour mobiliser à mon tour mon imaginaire. La bite en latex est souple sous mes doigts et tellement plus grosse. Sa belle longueur offre à mes gestes plus de sensations, je sens chaque sculpture des veines et elle se tord lorsque j’arrive au bout. Le gland avec son prépuce rigide autour frotte la paume de ma main. Mais l’autre bite dans ma main droite est bien plus chaude, plus tendre. Quand je contracte mes doigts autour d’elle, je la sens vivre. En fait, je me sens toute bizarre, comme si ce n’était pas moi qui jouais de la sorte. Malgré moi, j’imagine que ces deux verges qui glissent entre mes doigts me pénètrent tour à tour. Chacune lit en moi pour me faire l’amour et me donner soudain tant de plaisirs. Soudain je sens la main de mon homme se poser sur la mienne pour, semble-t-il, que je ralentisse. Je crois que j’étais en train effectivement de m’égarer…
Pour me ressaisir et me remotiver pour vivre la suite, j’essaie alors de repenser à toutes ces croupes masculines musclées dans mes fichiers. Il y en a vraiment de magnifiques. Et je rêverais de pouvoir les caresser pour sentir combien elles sont fermes. Ou de pouvoir les claquer à ma guise… Je continue de branler ses deux sexes les yeux fermés. Voilà que je vois maintenant toutes ces croupes offertes à moi… Elles se tendent pour que je les pénètre avec mon gode. Tout ça me trouble et m’excite. Oui, ce que je tiens dans ma main est fait pour pénétrer des corps. Des corps d’hommes. Mes tétons se durcissent malgré moi. Je me mordille les lèvres.
J’ai maintenant de plus en plus l’image d’hommes en train de se faire pénétrer par toutes ces femmes. Elles se tiennent en levrette derrière eux et ont une telle assurance. Il s’en dégage un tel sentiment de domination. Sentiment que j’ai moi aussi appris à connaître et qui flatte une partie de ma psyché. Mon trouble est telle qu’un petit cri d’excitation m’échappe et que mon sexe en est tout mouillé. Je meure d’envie de me le caresser. Ma main se glisse sous l’étrange sexe de latex et je frotte mon entrejambe, quand, soudain, je suis interrompue dans ma rêverie - pour une fois qu’elle était à ce point érotique !
- Euh… Dis, tu ne serais pas en train d’oublier de me branler ?
- ? ? ? ?
J’étais si plongée dans ma rêverie qu’il me faut quelques secondes pour revenir à la réalité. Je rouvre les yeux et je le revois tout à côté de moi et, effectivement, ma main avait desserré son étreinte. Il n’est donc jamais content ! Mais au lieu de m’agacer, sa remarque m’amuse parce que je réalise que c’est le moment idéal de m’en servir pour enclencher l’étape suivante et donc… de sévir !
- Mais dis donc. Qui t’a d’abord autorisé de me donner des ordres ?
- Heu, personne, ma ché… non, heu… mon chéri, mais je croyais que…
- Tu croyais ? Tu n’es pas là pour croire, mais pour m’obéir. Alors baisse ton pantalon que je te corrige !
- Maintenant ?
- Non, demain, imbécile ! Vite, je m’impatiente…
- Je garde mon slip ?
- Oui, ma chérie, garde donc ta culotte !
**
*
(à suivre)
« Les hommes et le porno : Partie 1- Un truc de mecs !Quelques jeux érotiques pour se familiariser avec le monde du pegging : Le Milking: 1ère partie-B- »
Tags : récit érotique, petite ballade sylvestre en automne
-
Commentaires
La suite est publiée (depuis longtemps). Il te faut juste utiliser le tag "Balade Champêtre" en bas du texte pur avoir accès à tout le récit.
Ajouter un commentaire
Joli ballade champêtre qui me ravive de bons souvenirs
on attend la suite
Titouan