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Petit Guide du Pegging amoureux (extraits)
Comme vous le savez certainement, nous essayons de promouvoir notre Petit Guide du Pegging Amoureux (avec difficulté parce que Amazon le censure quand on fait des recherches, sauf à accepter le contenu explicite, mais quand vous verrez ce qui est disponible sans ça, vous comprendrez que personne n'aurait idée d'activer cette option -> pour le trouver vous n'avez qu'à cliquer sur les lien du blog en haut à droite).
L'idée de ce livre est bien sûr de présenter le pegging en allant au fond des choses (oui, je sais, si c'est facile, mais trouvez-moi une autre formulation pour dire la même chose ) et surtout de donner en parallèle l'approche masculine et féminine. En effet, le pegging est vraiment la pratique sexuelle qui joue avec cette dimension, puisqu'elle s'apparente à une inversion des rôles. Cela veut dire que l'un peut se projeter dans ce que vit l'autre (et réciproquement); Sauf que chacun le fait avec un peu de ses préjugés liés à son sexe (et l'homme certainement encore plus). Donc, pour vous permettre d'avoir une vue la plus complète possible, nous vous donnons fréquemment nos deux témoignages ou points de vue sur chaque sujet que nous abordons.
A titre exceptionnel, nous allons vous donner un extrait de notre livre.
Voici la partie du plan concerné (dans le tome 2).
1- Les prérequis psychologiques pour sublimer sa séance de pegging »
Surmonter son (ou votre) appréhension
Couper les ponts avec la réalité
Cesser de se dire « vous »
À chacun de jouer et d’assumer son rôle
Fusionner vos mondes imaginaires
.Et nous allons nous limiter à l'une de ces sous-parties:
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À chacun de jouer et d’assumer son rôle :
Jouer à l’homme quand on est femme:
Il y a ici deux dimensions. La première tourne autour de l’image de l’homme telle que la femme la fantasme. Le second est vécu par l’homme autour des fantasmes qu’il projette sur ce que la femme est censée vivre et qui doit la rapprocher de ce qu’il ressent quand d’habitude il la pénètre. Et les deux sont très différents.
Monsieur cause :
Comment dire… Voir un corps de femme avec une grosse bite est très troublant. Et voir une femme s’exciter avec comme s’il s’agissait d’une vraie encore plus. Donc tout ce qui accroîtra cette dimension contribue pour ma part grandement à l’érotisme de cette pratique.
Je peux juste souligner que le plus difficile pour la femme est justement d’être à la hauteur de ce que les hommes peuvent fantasmer sur ce qu’elle est censée vivre. C’est bête à dire, mais l’homme aurait vraiment envie que la femme vive exactement ce que lui ressent au moment où il bande et où le pénis est caressé et stimulé. Or, autant se l’avouer tout de suite, c’est strictement impossible pour une femme. Donc elle devra jouer et simuler ce que nous avons secrètement dans la tête et, pour cela, elle a besoin d’être guidée.
Par exemple, j’avais envie qu’elle soit excitée de pouvoir branler son gode et qu’elle me le montre. Oui, je voulais qu’elle me regarde droit dans les yeux de manière arrogante tout en le tenant fièrement dans sa main. J’imaginais aussi qu’elle aurait vécu l’excitation de bander à son tour » ou que sa gaule était due à son désir à mon égard, comme moi je le vis en temps normal.
J’avais aussi envie de voir l’impatience dans ses yeux de passer à l’acte, comme si ça la démangeait à son tour. Mais je me suis rendu compte que, pour une femme qui a toujours vécu avec un corps de femme, il est difficile de basculer véritablement dans la tête des hommes. Nous fonctionnons trop différemment. Et quelque part, une femme a besoin d’un mode d’emploi à la fois pour le vivre à l’intérieur et l’extérioriser à l’égard des hommes.
Donc concrètement, si le pegging s’avérait en dessous de ce que l’homme a imaginé, la responsabilité n’en incomberait pas à la femme, mais bien à l’homme ! C’est à lui de communiquer, d’accepter que tout ne se passe pas forcément dans un monde parfait. Le pegging nécessite un peu plus d’échanges, de discussion que la plupart des autres pratiques sexuelles parce que l’inconnu qu’il contient est plus grand et que les fantasmes de l’homme et de la femme convergent étrangement tout en divergeant.
Madame Cause :
Difficile d’expliquer ce qu’une femme peut ressentir la première fois qu’elle porte un gode pour pénétrer pour de vrai un homme. D’abord, je pense qu’il faut apprendre à se familiariser avec la « femme » qu’on va devenir. Pour ma part, la première fois, j’ai eu besoin avant de me préparer un peu psychologiquement. La veille, je m’étais entraînée à me familiariser à porter ce phallus sur moi de manière à me dire que la femme qui se tenait devant moi dans le miroir était bien moi et que, ma foi, elle était peut-être un peu ridicule, mais qu’elle avait dans les yeux une lueur amusée et déterminée qui me plaisait bien. Et j’étais également sûre qu’elle plairait à mon homme.
Je voyais le pénis se dresser devant moi, comme une chose pourtant obscène, mais j’eus envie de jouer à l’homme. Je tenais le gode contre mon pubis fermement dans une main et de l’autre, j’ai fait mine de le branler, et immédiatement j’ai senti mon sexe se mouiller d’excitation malgré moi (il faut dire que j’étais déjà très émoustillée).
En fait, j’ai eu l’impression de vivre à la fois des sensations de femme (ah ! enfin voir une pénétration et la vivre, avec parfois l’impression de deviner ce que ressent mon chéri !) et des sensations d’homme (conduire la pénétration et dominer l’autre, avec un sentiment de puissance étrange pour la femme que je suis). Et plus je le fais, plus j’apprécie ce moment où je change de rôle.
Je vous invite, bien avant de passer à l’acte, à jouer à l’homme toute seule, par exemple, pendant une petite demi-heure. Amusez-vous à enfiler un pantalon, style jean bien moulant, pour sentir ce que ça peut faire d’avoir la gaule… Apprenez à vous déplacer avec la queue en haut puis en bas, à monter les escaliers, jusqu’à ne plus éprouver de gêne, ne serait-ce pour se rendre à compte à quel point c’est quasiment impossible que l’homme ne pense pas qu’à ça lorsqu’il bande...
C’est effectivement bizarre de sentir cette forme plaquée contre son corps. Et en fait, j’ai découvert que les hommes pensaient certainement logiquement plus souvent à leur sexe que nous parce qu’ils le sentent finalement vivre quand ils bougent. Il occasionne une gêne physique que nous ne connaissons pas (finalement, ils sentent vivre leur sexe un peu comme nous avec nos seins qui ballottent). Je sentais le jouet presser mon pubis ou ma cuisse se faire toucher par la verge.
Pour ma part, j’ai même essayé d’aller aux toilettes pour pisser debout ! Oui, j’ai essayé de sortir l’engin par la braguette (je confirme que le faire avec une érection n’est pas de la tarte !) et j’ai tenu la verge en faisant mine de viser (par contre je n’ai toujours pas compris comment ils faisaient pour en mettre autant à côté !). Tout ça paraît anecdotique, mais cela m’a aidée à penser avec une bite entre les jambes. Même si ce n’était pas ma propre chair, je sentais que j’avais bien quelque chose.
Je pense que ce travail d’imprégnation vous aidera à vous sentir davantage « homme » au moment fatidique. Ou plutôt à mieux sentir la différence d’être un homme, car ce n’est pas qu’une bite en érection, c’est aussi sentir ce besoin de pousser son bassin parce qu’il y a cette chose devant soi qui darde l’espace. Mais même avec travail de familiarisation, je ne me comportais pas exactement comme Monsieur l’attendait, tout simplement parce qu’il n’arrivait pas à faire abstraction que ce jouet en latex restait malgré tout pour moi un jouet en latex et non une vraie bite qui vit en moi presque indépendamment de ma volonté et que l’essentiel de mon désir y réside.
En fait, j’ai longtemps été dérangée par le regard de Monsieur sur moi. Par moment, il regardait plus ma grosse bite en latex que mes seins et il me semblait qu’il bandait presque plus pour ça que pour moi… Pas très flatteur, parce que, moi, je me trouve quand même un peu ridicule avec ce machin sur moi… Et j’ai envie qu’il bande pour moi (surtout que je fais des efforts pour être très sexy en même temps) et non à cause du truc qui ne fait pas vraiment partie de mon corps ! Bref, c’est un peu perturbant pour une femme de faire bander son mec parce qu’il la voit bander. Difficile de ne pas imaginer par moment qu’il n’y a pas là un peu d’homosexualité refoulée… Et puis, posséder un pénis est une chose magique, mais frustrante, car j’ai beau le toucher, le branler, je ne ressens rien.
Donc, Monsieur m’a aidée à comprendre à la fois comment lui vivait la chose de l’intérieur et comment je devais jouer mon rôle jusqu’au bout et pourquoi je devais me montrer davantage excitée à me comporter comme un homme. Pourquoi ? Parce que ce n’est que comme ça que je commence à rentrer dans l’imaginaire des hommes. Ce n’est pas le mien, mais pourtant, si on accepte le jeu, même sans être véritablement stimulée, je suis excitée à branler cette nouvelle bite qui a soudain poussé au bas de mon ventre. Je joue mon rôle, je simule, mais je suis rattrapée par la réalité, à savoir que porter et branler cette bite m’excite vraiment et que c’est ce que je voulais. En l’occurrence, faire semblant, c’est paradoxalement faire vivre cette réalité.
Jouer à la femme :
En la matière, la pratique du pegging est aussi une belle boîte à fantasme tant autour de ce que l’homme veut vivre que ce que la femme désire qu’il vive. Il nous a fallu quelques réglages également pour que cette dimension prenne place et soit perçue comme chacun l’avait envisagée dans sa tête.
Madame cause :
Pour ma part, j’attendais que Monsieur découvre et apprenne à être pénétré et à mettre à disposition son corps pour l’autre. Je suis certaine que cela oblige l’homme à voir différemment la pénétration. Il aura une meilleure idée de ce que nous vivons. Monsieur est soudain devenu très curieux et il me parle de son expérience pour savoir si, en tant que femmes, nous ressentons les mêmes choses.
Jouer à la femme pour un homme, chez certains, cela va jusqu’au besoin de nous emprunter de la lingerie. À vous de découvrir vos limites. Moi, ce n’est pas trop mon trip, mais je respecte l’envie de mon partenaire. Au contraire, si ça l’aide à sublimer son fantasme… Et puis, je vais vous dire, un cul d’homme bien épilé, bien ferme, avec un porte-jarretelles, ça m’a paru ridicule la première fois, mais au cours de l’exploration, cela devient troublant à regarder, parce qu’on a l’impression de prendre une femme et par conséquent d’être soi-même un peu plus « homme ».
Au-delà de l’aspect vestimentaire, j’aime le fait que cet homme qui me fait face sache qu’il a lui aussi un trou, un orifice que je peux pénétrer à tout moment avec le gode autour de ma taille, dans toutes les positions qu’il me plaira. Si nous le pouvons, mon homme aime bien que cette inversion des rôles passe également par un jeu. C’est l’occasion de se confier l’un et l’autre ses fantasmes.
Par exemple, à lui de jouer à la femme qui fait les tâches ménagères et à moi le rôle du pacha. Et je le regarde faire la cuisine ou le ménage, si possible les fesses à l’air pour qu’il se sente une proie, et je m’amuse à passer derrière pour qu’il sente la menace du gode. Et parfois, je décide de passer à l’attaque avant qu’il n’ait fini, en l’obligeant à se pencher pour que je puisse le prendre.
Ensuite, j’ai pris conscience des attentes de Monsieur à mon égard parce qu’il s’attendait à ce que j’exige des choses différentes, parce que lui les fantasmait sur moi quand c’est lui qui porte seul le phallus.
Aujourd’hui, j’attends qu’il me montre que ma bite l’excite comme une vraie femme. Ainsi, il devra la branler pour la lubrifier et je devrai voir ses yeux briller lorsqu’il le fera. Parfois, pour jouer son rôle, il devra être prêt lui aussi à la sucer. Surtout, il devra me montrer son plaisir d’être pénétré comme une femme. Ce sera à lui de me faire vivre ses sensations parce que je ne peux vivre vraiment mon fantasme qu’à travers le plaisir que je vais lui donner.
Mais cette dernière dimension a nécessité que Monsieur me guide parce qu’il s’agissait de ses fantasmes à lui. Ce qui est amusant, c’est aussi ses fantasmes à mon égard quand je suis totalement femme. C’est pourquoi l’homme en la matière n’a aucun tabou à jouer la grosse salope. Et il imagine que, moi, ça m’excite de pouvoir lui faire subir ce que les hommes font subir aux femmes dans du porno. Parfois oui, parfois pas du tout. Mais ça m’amuse de le voir jouer une femme bien plus grosse salope que moi je ne le serai jamais. C’est son droit et le mien de rester dans les limites que je ne souhaite pas dépasser.
Monsieur Cause:
Cette dimension du pegging est très intime. Il est très délicat de s’avouer sa féminité cachée pour un homme et encore plus de la montrer à une femme. Immédiatement, il y a les notions d’homosexualités ou de travestis qui parasitent notre imaginaire. Et puis, il y a aussi la peur d’être jugé négativement et de perdre quelque part la puissance de notre Phallus.
Pour ma part, je pars du principe que c’est à la femme de me guider dans son érotisme dans la mesure où elle est dans une démarche plutôt altruiste en matière de plaisir ressenti. Donc je me plie volontiers à tout ce qui rendra cet échange plus stimulant pour elle.
Mais jouer à la femme ne signifie pas forcément se féminiser. Il s’agit surtout de se projeter sur l’expérience que vit la femme lorsqu’on la pénètre le reste du temps. En ce sens, l’homme se rapproche de la relation qu’elle entretient avec son corps. Il doit apprendre à se mettre plus en valeur, à être à son tour convoité et à écouter davantage son corps.
Ensuite, le pegging est aussi l’occasion d’aller plus ou moins loin en fonction des désirs de chacun, à ce que l’homme se rapproche plus ou moins du vécu des femmes et de ce qu’elles font et acceptent des hommes, dans le quotidien, de l’approche de la séduction ou dans la sexualité même. Et ici, la femme jouera le rôle de guide pour l’homme s’il souhaite aller plus loin dans cette dimension plus intime de la féminité.
Bref, au couple de creuser ses envies. Et à la femme d’être à la fois à l’écoute de son homme et force de suggestion. J’avoue aimer forcer les traits et j’aime quand Madame me pousse à aller un peu plus loin dans ma féminité. Quitte à me comporter effectivement comme une grosse salope qui adore se prendre des grosses bites…
Ceci n’est possible que dans un climat de confiance totale. Madame doit admettre que je joue un rôle qui ne signifie pas forcément grand-chose (dans 99% du temps, je reste un homme qui aime se servir de sa bite sur elle). Il y a ce qui m’excite et ce que j’imagine excitant pour elle. Il a fallu avant que j’ose lui montrer que j’étais prêt à aller plus loin que ce qu’elle n’osait me demander et qu’elle découvre également que je ne la jugeais pas négativement si elle me demandait elle aussi des choses dans ce sens. Au contraire, cela ne fait que renforcer notre complicité et m’aide à explorer qui je suis (et à découvrir également qui elle est).
Jouer en ne cessant d’être soi-même :
En effet, en tout cas dans notre couple, nous voulons que l’homme reste aussi un homme. Qu’il grogne comme tel, qu’il résiste à aux coups de bassin de Madame avec sa force, qu’il soit capable de se rebeller, de dire ce qu’il attend d’elle, qu’il la guide pour qu’elle le comble. Car Madame aime les vrais hommes.
Et pareil pour Madame : elle se doit d’être si possible terriblement sexy, de parler et gémir éventuellement comme telle.
Monsieur Cause :
J’aime dans ces moments que ma chérie se sente profondément femme. C’est pourquoi Madame porte de jolis dessous en dentelle, des escarpins, du maquillage. Je ne veux pas qu’elle soit un homme, mais bien une vraie et jolie femme, avec juste une grosse bite qui se dresse outrageusement devant elle. J’attends qu’elle se trimballe avec en robe ou en jupe. Je trouve ça encore plus troublant que le tissu soit soulevé devant comme si elle dévoilait déjà son érection.
Et bizarrement, le pegging ne prend son sens uniquement parce qu’il s’agit d’une authentique femme qui pénètre l’homme. C’est parce qu’il y a cette dimension que la symbolique gagne en puissance. Si la femme devenait authentiquement masculine, le jeu reproduirait quelque part l’ordre naturel. L’aspect ludique du pegging se cache dans ce paradigme : plus une femme sera féminine dans sa séduction et sa fragilité et plus sa victoire sera éclatante sur l’homme.
Bien sûr, on peut aussi envisager un rôle où la femme se masculinise davantage, mais cela reste marginal dans nos jeux.
Madame Cause :
Pour la part, j’aime tout particulièrement que mon chéri vienne derrière moi, qu’il me saisisse par le gode en le branlant, alors que je sens sa bite dressée contre ma peau derrière moi et qu’il me caresse les seins de l’autre main, en m’embrassant dans le cou. Je me sens femme et (un peu) homme. Et c’est ça que j’ai envie de vivre. Et si je suis censée le dominer, j’aime qu’il me dise tout simplement qu’il a envie de ma bite au creux de l’oreille. Et je me retourne pour un long baiser, et là je veux voir son désir d’homme à travers son érection, et chacun peut alors voir et sentir le membre de l’autre et se dire que tous deux auront l’occasion de servir dans pas trop longtemps…
Il m’arrive de lui demander de porter des vêtements féminins (principalement des porte-jarretelles, notamment quand ils sont larges parce que je trouve qu’ils dessinent bien son postérieur), mais uniquement lorsque nos jeux s’y prêtent, sinon j’ai envie de me dire que je pénètre un authentique homme, à la fois viril et fort, et que par cette pénétration anale, je lui prouve que je fais jeu égal.
Il est également très flatteur pour moi de deviner que cet homme me cède son cul parce qu’il est entièrement sous mon charme. Je n’ai pas envie d’enculer une lopette parce que cela réduirait mon aura.
Bien sûr, dans des jeux de D/S, il peut être plaisant d’obtenir de lui autre chose, ce que justement d’autres femmes n’obtiendraient pas de lui. Il se donne à moi comme à nul autre et cela me rend d’autant plus fière. Cela fait partie des paradoxes du pegging et de sa richesse. Dans tous les cas, c’est à la femme de fixer les règles en fonction de ses aspirations. L’homme en la matière doit se contenter d’être force de suggestion. Même dans le cadre du Pegging amoureux, la femme reste en la matière une reine et l’homme son valet.
Donc voilà à quoi ressemble notre guide et l'esprit qui régit le livre. Si cet extrait vous a plu, vous savez ce qu'il vous reste à faire... Et n'oubliez pas, si vous nous laissez un commentaire sur Amazon, nous vous ferons parvenir une petite BD bonus (sans prétention) qu'a fait Songe (dont vous trouverez quelques pages ici et qui s'appelle "Une drôle d'infirmière"). Pour cela utilisez la Rubrique "Contact" tout en haut à gauche (de même si vous souhaitez nous faire parvenir un article à publier ici).
Songe
Tags : petit guide du pegging amoureux, pegging
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